Ma 1ère rencontre avec Alain Humbert (en anglais, on dirait “encounter”), remonte à l’an dernier, lorsqu’un atelier sur la gestion du temps a été proposé sur mon lieu de travail.

Comme j’étais submergée de travail et que cela était devenu une situation qui perdurait dans le temps, je sautai sur cette occasion et inscrivis également trois des membres de mon équipe.

“Fast forward”, six mois plus tard.

En avril 2020, en plein lockdown dans mon pays, je suis l’heureuse bénéficiaire de séances de coaching gratuites, offertes par Alain durant la période de crise due au COVID-19.

A la place de “séances de coaching”, je dirais plutôt “accompagnement”, “transformation”, “shift”, salut.

Dès la 1ère session, mes tracasseries institutionnelles ont laissé la place à des questionnements plus profonds, plus fondamentaux et cela a été pour moi, une grande libération. Il y avait de place pour exprimer mes aspirations les plus cachées. On est sortis du “cadre” et nous avons travaillé. Travaillé à construire mon bonheur, pas à pas.

Je pourrais être tentée d’expliquer ce processus, mais ce n’est pas là le plus important à exprimer ici. Chaque personne co-construit avec la personne qui l’accompagne, selon une route qui leur est propre.

J’ai vécu cette rencontre, cet accompagnement comme une grâce. J’ai envie de sourire, d’ouvrir mes bras, de courir et de sauter. Voilà, c’est ça: j’ai retrouvé l’essence de vie en moi. J’avais oublié d’activer mon essence vitale pendant très longtemps, je dirais 30 ans. Aujourd’hui je suis lancée sur une route qui est la mienne, c’est inestimable.

Je continue de construire, de créer avec les outils qui m’ont été partagés par Alain. Prendre conscience que cela est possible, et que les difficultés ne devraient plus être sources d’angoisse, est précieux.

Depuis, j’appréhende la vie, que ce soit sur le plan personnel ou professionnel, avec une foi que je n’ai jamais connue. C’est une foi dans ce que la vie peut nous proposer d’imprévu, comme une solution non-envisagée, ou un angle nouveau auquel on n’avait pas pensé. Il y a du possible à chaque coin de notre route. Merci Alain